.Le réseau d’électricité couvre le centre de la ville mais de nombreux hameaux éloignés du centre n’y ont pas accès ; de même pour l’eau où deux forages alimentent seulement le centre de la ville, quant aux hameaux ils se voient équipés de puits au rythme des financements extérieurs.
.Malgré sa jeunesse et son manque de moyens la commune a à son actif des réalisations utiles à la population : la construction d’un marché couvert et d’une gare routière, l’aménagement de l’hôtel de ville, le creusement du second forage…..
.La population de Nguekokh progresse rapidement du fait d’une natalité soutenue et de l’installation dans la commune de nombreux Dakarois ; les écoles poussent comme des champignons: en 2000, 2 écoles primaires. 11 écoles en 2017.
.A quoi s’ajoutent la case des tout petits, un collège public d’enseignement moyen à côté duquel s’est construit un lycée, un foyer d’enseignement moyen pratique offrant des formations « menuiserie bois » et « menuiserie métallique »
.Plusieurs écoles privées existent également, accueillant les élèves du CP à la 3ème, ou du CP à la Terminale.
.La scolarisation n’est pas obligatoire au Sénégal mais le gouvernement développe des campagnes pour que les enfants soient scolarisés. A Nguekokh il existe encore de nombreux enfants non inscrits et d’autres qui bien qu’inscrits ne sont pas scolarisés faute de places.
.En ce qui concerne la santé deux postes de santé avec à leur tête un infirmier (sous la responsabilité du médecin-chef de M’Bour) se partagent l’ensemble de la population.
.Depuis 2016, Nguekokh possède une maternité au poste n°2, financée par Teraanga et ses partenaires.
.La commune dispose également d’un stade de football, d’un foyer de jeunes et d’un foyer pour les femmes mais ces structures ont sérieusement besoin d’être améliorées.
Le CLAC ( centre local d’action culturelle) s’équipe peu à peu.grâce notamment aux dons venant de France ).